La commune d’Essouvert se trouve dans le centre ouest des Vals de Saintonge, à seulement quelques kilomètres de Saint-Jean d’Angély. Les communes limitrophes sont Landes, La Vergne, Saint-Jean d’Angély, Loulay, Courant, Lozay, Antezant et Courcelles.
Avec 1140 habitants issus de la fusion entre Saint-Denis du Pin et La Benâte, Essouvert fait partie des communes les plus peuplées du territoire.
La commune d’ Essouvert est traversée par l’autoroute A10, ce qui lui permet de bénéficier d’une situation géographique des plus favorables. Les Essouvertois.es sont à seulement 1h30 de Bordeaux et de Poitiers.
La commune d’Essouvert fait partie des communes nouvelles françaises, un statut qu’elle a obtenu le 1er janvier 2016, en raison de la fusion des deux anciennes communes de La Benâte et Saint-Denis du Pin.
Essouvert bénéficie d’un paysage bucolique et d’un patrimoine naturel riche en plein cœur de l’un des plus grands espaces boisés des Vals de Saintonge.
En effet, la forêt d’ Essouvert et ses 600 hectares, s’étendent sur trois communes, que sont Lozay, Loulay et Essouvert.
Depuis près de 70 ans, ce massif forestier n’est plus exploité par l’homme, une aubaine pour les coureurs, marcheurs et autres amoureux de la nature, qui peuvent se ressourcer en plein cœur d’une nature préservée.
L’église Saint-Denis du Pin porte encore le nom de l’une des deux anciennes communes qui ont fusionné en 2016. Cet édifice présente une architecture qui sort quelque peu de l’ordinaire, notamment grâce à sa hauteur.
En effet, l’église se caractérise par des dimensions assez peu courantes, ce qui ferait presque penser à une tour romaine, au regard de la silhouette de la bâtisse.
L’église se compose d’un clocher, qui rappelle la forme d’un minaret qui pourrait être le signe de l’influence mauresque jusqu’en Saintonge et dont la construction semble dater du XIe siècle. Celui-ci est le seul rescapé, avec la travée correspondante, de l’édifice originel, construit dans le style roman.
D’autres éléments tels que le chœur, la chapelle et la nef, ont été restaurés au XVe siècle.