Aujourd’hui, un cadre de vie privilégié

La richesse paysagère, sa biodiversité et l’étendue du territoire sont des éléments forts pour agir sur la préservation des systèmes écologiques. Des dynamiques collectives et individuelles s’égrènent sur le territoire en matière de réduction des déchets, des pesticides, de la préservation de la qualité de l’eau et de l’air.

Porteurs de projets en matière de valorisation de l’agriculture biologique, les Vals de Saintonge deviennent la niche du grand ouest en matière de développement des filières autour du Bio.

Grands paysages

Les Vals de Saintonge sont avant tout constitués de paysages ruraux (plaines, vallées, bois, vignobles et champs ouverts…). Le relief de plaines, les espaces ouverts, l’ensoleillement contribuent à produire une sensation de calme et de douceur.

L’environnement & milieux naturels

L’offre de mobilité

On peut constater une forte dépendance à l’automobile, des déplacements quotidiens pour rejoindre son lieu de travail, les équipements, les commerces ou encore les loisirs. La faible pluralité des modes de déplacements et les distances font de la voiture un mode de déplacements privilégié et omniprésent. Cela génère des émissions de gaz à effet de serre importantes, près de 40 % sur le territoire.

Un développement de recharges pour véhicules électriques
ainsi qu’un système de transport à la demande sont proposés par la ville de Saint-Jean d’Angély. De nombreuses aires de covoiturage sont présentes sur le territoire.

La voiture ne peut totalement être abandonnée sur ce territoire rural, mais en mutualisant les trajets cela permettra de réduire l’impact de ces usages sur l’environnement.

Mobilités douces

Le développement des mobilités actives est un enjeu fort. Les Vals de Saintonge sont peu dotés d’équipements favorisant la marche et le vélo. Il existe de nombreux circuits communaux destinés aux loisirs ou bien encore au tourisme, mais très peu pour le quotidien. L’enjeu est d’inciter les mobilités plus respectueuses de l’environnement en favorisant avant tout le recours aux déplacements actifs et les modes de transports collectifs.

Transition écologique & énergétique

Le principal poste de consommation d’énergie : secteur résidentiel, responsable de 38 % des consommations sur le territoire.

Le bois alimente 11 % des consommations énergétiques. Les besoins électriques du territoire sont actuellement couverts par la production renouvelable locale qui fournit 323,4 GWh/an. La puissance installée devrait croître jusqu’à 230 MW et fournir ainsi 460 GWh/an d’électricité. La performance énergétique des logements est estimée en moyenne sur le territoire à 229 KWh/m²/an soit l’équivalent d’une étiquette énergétique de type D.

Énergies renouvelables

Présence d’une centrale solaire 14 GWh/an, correspondant
en énergie à plus de 5 000 foyers. Une extension du site d’une puissance équivalente, portée par la Communauté de Communes, est actuellement en cours d’étude et d’autres projets privés sont également connus à ce jour.

Le territoire est riche d’une biomasse dont l’exploitation est très peu orientée sur la production d’énergie. Les bois sont majoritairement exploités par les particuliers pour la production de bois de chauffage. De même, les résidus agricoles — céréaliers et viticoles — sont peu valorisés sur le territoire. De nombreuses ressources sont donc encore à développer.

Chiffres et données récoltés en 2021

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